Requiem 16.90
des ténèbres à la lumière
Les artistes de Requiem
Les Chantres de Saint-Hilaire Sauternes
direction François-Xavier Lacroux
Astrid Vehstedt, mise en scène
François-Xavier Lacroux, directeur musical
Formé initialement en violon et flûtes (dès 6 ans) à Lyon, il se consacre presque exclusivement depuis 25 ans à la musique ancienne à travers la voix et ses activités de claveciniste et organiste. Au contact de figures marquantes de la musique ancienne, Pablo Colino à Rome, Olivier Schneebeli à Versailles et Marcel Pérès à Moissac et Paris, il travaille la voix et approfondit ses recherches sur les manuscrits anciens et leur interprétation. Il se spécialise alors dans les plains-chants et les musiques modales. Puis il fonde ses propres ensembles qu’il amène sur le chemin de la recherche et de l’interprétation des patrimoines oubliés, notamment avec Les Chantres de Saint-Hilaire, dont il demeure le Directeur Musical. Il dirige le Centre de Musique Ancienne Sauternes et donne des concerts également en tant que continuiste et accompagnateur avec d’autres formations. Il enseigne lors d'académies et master-classes le plain-chant, la basse continue et les flûtes dans le Sud-Ouest et ailleurs. Il est organiste titulaire de la Basilique de Verdelais, Gironde.
Astrid Vehstedt, mise en scène
Née à Hambourg. Elle a étudié la mise en scène à la "Hochschule für Musik und Theater" auprès du professeur Götz Friedrich, la TV et la Video auprès du professeur Gyula Trebitsch, au "Studio Hamburg und ZdF". Elle a été engagée notamment au Théâtre Royal de la Monnaie de Brucelles, au Royal Opera House de Covent Garden, au Théâtre du Châtelet, Paris, ainsi qu'au théâtre national de Bagdad. Formation et direction de l'„ensemble interculturel“ pour une musique de théâtre contemporaine à Bruxelles. Elle travaille beaucoup en interdisciplinarité comme auteur, metteur en scène et cinéaste. Réalisations en tant que metteur en scène comme par exemple Missa e Combattimento-scenes from a Holy War (Monteverdi-Judith Weir) La Monnaie, Bruxelles, Agamemnon, LondonActorsGroup, Spiel im Sand, Oper Halle/IMPULS-Festival „Breaking News“ IMPULS-Festival, Egmont Nationaltheater Bagdad 2021. Films : Jakob Lenz (Wolfgang Rihm) Bei uns nichts Neues (Tel Aviv/Berlin 2014/2019) Egmont in Iraq. Depuis 2021, elle est vice-présidente et mandataire du Writers-in-Exil-PEN-Zentrum Deutschland.
Dorothée Lorthiois, dessus
Diplômée du CNR de Reims puis du CNSMDP, elle débute sur scène en incarnant le rôle d'Eurydice dans Orphée aux Enfers d'Offenbach sous la direction d'Alain Altinoglu. Depuis elle a chanté de nombreux rôles tel que Le Maréchal Ferrand de PHILIDOR (Jeannette), La Colombe de GOUNOD (Sylvie), Opera Seria de GASSMAN (Smorfioza), le Couronnement de Poppée de MONTEVERDI (Vertu et Drusilla), La Bohème de PUCCINI (Mimi), Don Giovanni de Mozart (Donna Anna), Il ritorno d’Ulisse in patria de MONTEVERDI (Minerva), Carmen de BIZET (Micaëla), Orlando Paladino de HAYDN (Angelica), Die Zauberflöte de Mozart (Pamina), Armida de Haydn (Zelmira) et récemment Traviata de Verdi (Violetta). Elle chante dans des prestigieux endroits tel que Radio France, l’Opéra Garnier, au Théâtre des Champs-Élysées, l'Opéra de Lilles, au Théâtre de l'Athénée, aux invalides... avec l’Orchestre National de France, le Freiburger Barockorchester, le concert de la loge , les Paladins sous la direction de Kurt Masur, d’Enrique Mazzola, d’Ivor Bolton, de Julien Chauvin, de Jérôme Correas mise en scène notamment par Christophe Rauck, Mariame Clément, Vincent van den ELSHOUT, François DE CARPENTRIES.
Barbara Bajor, dessus
Barbara a débuté la musique à l’âge de 7 ans en Pologne par l’étude du piano et de la clarinette. Elle rentre ensuite au Conservatoire de Gdansk en horaires aménagées dès 15 ans pour étudier le basson moderne. Elle y obtient le baccalauréat avec diplôme de basson moderne, puis une maîtrise de basson dans la classe de Wojciech Orawiec. Elle remporte en 2003 le premier prix du concours de vents de Bydgoszcz. Elle collabore avec l’Orchestre Philarmonique de Gdansk, l’Orchestre d’Elblag, la Capella Gedanensis et le Golberg Ensemble. En 2008, elle part à Antwerpen (Belgique) étudier pendant 4 mois avec Francis Pollet. En 2010, elle découvre le basson baroque avec Tomasz Wesolowski lors de la master-classe Lidzbark Warminski. Elle suit son enseignement jusqu’en 2011. Lors de sa venue en France, elle rencontre François-Xavier Lacroux et intègre l’ensemble Les Chantres de Saint-Hilaire. Elle obtient son prix de basson baroque dans la classe d’Augustin Humeau à Toulouse. Depuis lors, elle collabore avec de nombreux ensembles, tels Pygmalion, Les Chantres de Saint-Hilaire, Les Précieuses, l’Ensemble Baroque de Toulouse etc… Elle se perfectionne également en chant lyrique, notamment auprès de Nadia Lavoyer et Guillaume Figiel Delpech. Elle enseigne avec passion au sein de plusieurs écoles de musique et associations sur la région bordelaise.
Guillaume Figiel Delpech, contre
Contre-ténor, Guillaume Figiel Delpech a travaillé avec M. Bleuse, J. Suhubiette, S. Cardon, A. Bourbon, ainsi qu’avec G. Colliard et l’Orchestre de Chambre de Toulouse. En 2011, il est membre de l’académie Pergolese Cafaro de la Fondation Royaumont avec Les Paladins, direction J. Corréas. Il a fait ses débuts en récital en 2011 à Toulouse dans une série de concerts autour d’airs d’opéras de Haendel et Mozart, dans la saison de l’Orchestre de Chambre de Toulouse. Il a été choisi pour la création contemporaine « L'éveil d'Orphée » de J.P.Guinle au théâtre de Perpignan en avril 2014. Il rejoint les Cris de Paris pour le programme 5.1 en 2014. Durant le mois inaugural de la fondation Louis Vuitton, il participe aux performances d'Oliver Baer aux côtés des Cris de Paris. En janvier 2015, il est parti en tant que soliste à Vienne (Konzerthaus) avec Vincent Dumestre et le Poème Harmonique dans un programme dédié à Lully. Il chante régulièrement pour des opéras en Europe de l'Est notamment ainsi qu'avec Les Musiciens du Louvre (Marc Minkowski). Il enseigne le chant au CRR de Reims.
Pierre Perny, taille
Très tôt passionné de musique, Pierre Perny, ténor, s’est initié au chant en appartenant à plusieurs chœurs lotois et toulousains de 1997 à 2004. Parallèlement à des études d’Anthropologie, c'est avec l'Ensemble Baroque de Toulouse (direction Michel Brun) qu'il obtient ses premiers contrats dès 2005 et qu’il décide alors de faire du chant son métier. En 2006, il devient Chantre du Centre de Musique Baroque de Versailles où il développe sa technique vocale avec Julie Hassler puis avec Isabelle Desrochers. Cet établissement lui décerne le Diplôme d’Études Musicales « spécialisation chant baroque » en 2010. Durant sa formation, il aura l’opportunité d’être très souvent en concert sous les directions d’Olivier Schneebeli et de chefs invités dans des lieux et des festivals prestigieux en France et à l'étranger aussi bien en tant que soliste que choriste. Il se perfectionne depuis 2012 auprès du ténor Guy Flechter, à Paris. Pierre Perny se produit régulièrement avec Le Concert Spirituel (Hervé Niquet), avec l’ensemble Accentus (Laurence Equilbey), avec Les Talens Lyriques (Christophe Rousset), au sein de l’ensemble Correspondances (Sébastien Daucé), entre autres. En 2023, il intègre les Chœurs de l’Opéra Royal du Château de Versailles. Il participe à de nombreuses productions discographiques produites par Glossa, Alpha, Château de Versailles Spectacles.
Alvaro Valles, basse-taille
Né à Canelones (Uruguay) le baryton Alvaro Vallés rencontre la musique au sein du Choeur de l’Université de la République à Montevideo. Il intègre ensuite l’École Universitaire de Musique en chant lyrique et arts de la scène. En France depuis 2008, il a poursuvi ses études de chant au Conservatoire de Strasbourg. Il se produit régulièrement avec des ensembles tels que : Pygmalion (Raphël Pichon), Les Arts Florissants (William Christie), Collegium Vocale Gent (Philippe Herreweghe), Les Cris de Paris (Geoffroy Jourdain), Choeur de Chambre de Namur (Leonardo Garcia Alarcon) ), Le Balcon (Maxime Pascal), Accroche Note (ArmandAngster), Choeur de l’Opéra National du Rhin entre autres.
Jean-Louis Serre, basse-taille
Il commence très tôt sa formation musicale par le biais exigeant d'une Maîtrise de garçons; suivent ensuite des études de langues classiques dans les Universités de Tübingen et Heidelberg (Allemagne), mais il revient bientôt à ses premières amours et entre au CNSMP ( Conservatoire National de Musique de Paris) où il travaille avec Jane Berbié, Rémi Corazza puis Marie-Claire Cottin. Dès lors, il est rapidement intégré aux circuits professionnels et appelé à exercer son métier de chanteur. De tous les genres musicaux, l'opéra reste le lieu où il donne toute sa mesure d'artiste lyrique et de comédien : les théâtres comme le Châtelet, les Champs Elysées, l'Opéra Comique, mais aussi Nancy, Toulouse, Tours, Avignon, Rennes, Angers, l'accueillent régulièrement ; sa présence scénique et son timbre de voix si particulier l'y font toujours remarquer.
Il aborde avec une ferveur et une intensité toute personnelle le répertoire d'Oratorio que son passé de Petit Chanteur lui a appris à apprécier et à comprendre : les orchestres et les chœurs renommés (Orchestre National de Lyon, Orchestre National de Lille, Choeurs de Radio France, Concerts Colonne, Lamoureux, Picardie...) font appel à lui pour interpréter les classiques du genre : Requiem Allemand de Brahms, Requiem de Duruflé, Requiem de Fauré, Cantates, Passions et Messes de Bach, Rossini, Mendelssohn.... Sa formation initiale lui permet d'aborder le répertoire baroque et il a travaillé avec des musiciens incontournables tels que Marc Minkowski, Christophe Rousset, Jean-Claude Malgoire, Hervé Niquet, Philippe Herreweghe...
Benjamin Bédouin, cornet à bouquin
Benjamin Bédouin découvre le cornet à bouquin pendant ses études de musicologie, à la fin du XX° siècle. Il se forme au CNR Supérieur de Paris dans la classe de Jean Tubery, puis au CNSM de Lyon dans celle de Jean-Pierre Canihac, où il obtient son prix en 2000. Depuis lors, il partage ses activités entre l’enseignement et les concerts. Benjamin Bédouin se produit avec nombre d’ensembles baroques parmi lesquels, Les Cris de Paris (G.Jourdain), Macadam ensemble (Etienne Ferchaud), mais aussi dans des répertoires moins traditionnels pour l’instrument comme le jazz, les rencontres interculturelles ou encore la musique contemporaine comme l’ensemble offrande (M.Moulin).
Amélie Pialoux, cornet à bouquin
Amélie Pialoux a étudié la trompette au Conservatoire de Clermont-Ferrand, puis à Saint-Étienne où elle obtiendra son prix à l’unanimité de trompette moderne en 2008 avant de se spécialiser dans le répertoire et les instruments baroques (trompette naturelle et cornet à bouquin) au CNSMD de Lyon où elle obtiendra deux Masters en 2013 et 2016. Soucieuse de diversifier ses pratiques artistiques elle a également obtenu un Master en Arts Plastiques. Depuis 2008 elle se produit avec l’ensemble lyonnais le Concert de l’Hostel Dieu, les Nouveaux Caractères, la Grande Écurie et la Chambre du Roy ou encore Les Ombres, Les Surprises, Matheus, le Palais Royal... Elle est actuellement professeur de trompette baroque et cornet à bouquin au CRR de Versailles, et professeur de trompette moderne au CRD d'Alençon. Elle est une artiste soutenue par l’ADAMI.
Stéphane Muller, sacqueboute
Il est originaire de Steenbecque (59). Diplômé des conservatoires de Lille, Reims et Rueil Malmaison, Stéphane enseigne actuellement aux conservatoires de Chambéry (CRR) et Saint Priest (CRC). En 2006 il débute une formation de sacqueboute (trombone baroque) auprès de Stéfan Légée au CRR de Saint Maur des Fossés et poursuit auprès de Franck Poitrineau à Tours. D'avantage impliqué sur les trombones historiques, il se produit régulièrement avec des ensembles tels que Pygmalion (R. Pichon), Le Concert Spirituel (H. Niquet), Europa Galante (F. Biondi), Doulce Mémoire (D. Raisin-Dadre), etc.
Udo Zimmermann, serpent
Après des études musicales complètes au Conservatoire de Valenciennes, Udo Zimmermann obtient son DNOP en tuba dans la classe de Thierry Thibault. Attiré par un répertoire plus ancien, il apprend le serpent auprès de Volny Hostiou au conservatoire de Rouen puis entre au Conservatoire de la Vallée de Chevreuse dans le département de musique ancienne où il bénéficie des cours de Musique de Chambre de Michèle Dévérité et Jean-Pierre Nicolas. Il y obtient un DEM de musique ancienne sur instrument ancien avec Mention Très Bien. Il fonde alors avec son épouse l'ensemble Soranza composé d' une claveciniste, d'un joueur de sacqueboute, d'un chanteur et d'un percussionniste avec lesquels il monte un spectacle autour d'un voyage dans l'Italie du XVII ème siècle qui a déjà été joué plusieurs fois dans le Nord et en région parisienne où il a reçu un excellent accueil. Il se produit aussi régulièrement lors de divers projet autour du serpent, notamment avec l'ensemble Alsacien Hortus Musicali. Parallèlement à sa vie musicale, il a poursuivi des études d'accordeur et restaurateur de piano à l'ERDV de Loos puis à L'ITEMM au Mans où il a obtenu son diplôme du Brevet des Métiers d'art. Il exerce aujourd'hui son métier dans toute la région des hauts de France.
Isabelle Duluc, viole de gambe
Après des études de violon au CNR de Bordeaux et une licence de musique (Bordeaux III), elle s'est consacrée à la musique ancienne en intégrant la classe de violon baroque d'Enrico Gatti (CNR de Toulouse) puis la classe de viole de gambe de Paul Rousseau. Diplômée du CNR de Bordeaux en viole de gambe et musique de chambre, elle participe régulièrement à de nombreux concerts notamment ceux des Passions, de l'Ensemble Baroque de Toulouse, de Sagittarius, d'Orfeo, du Festin d'Alexandre, Les Chantres de Saint-Hilaire… Elle collabore à l’enseignement dans plusieurs écoles et conservatoires de la région bordelaise, ainsi qu’au dispositif DEMOS. Elle est également directrice adjointe en charge de la pédagogie au sein du Centre de Musique Ancienne Sauternes, et 1er violon de l’orchestre baroque EMAS.
Benoît Bératto, violone
Benoît Bératto entre en 2006 au Conservatoire Populaire de Musique de Genève où il étudie la contrebasse avec Olivier Magnenat, et la viole de gambe avec Cécilia Knudsten. Son cursus Genevois achevé, et pour se spécialiser en musique baroque, il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, où il suit pendant 5 ans une formation de contrebasse historique et de violone avec Richard Myron, de direction de choeur et choeur grégorien avec Louis Marie Vigne, et de musique de chambre avec Kenneth Weiss. Il en sort diplômé (Master) dans toutes ces disciplines en 2015. Benoît a également été contrebassiste au sein de l'Orchestre Symphonique de Genève pendant quatre ans. Sa spécialisation baroque lui a permis de jouer sous la baguette de grands chef tels que Paul Agnew à l'opéra Bastille, Sigiswald Kuijken au théâtre du châtelet, Jean Marc Aymes au théâtre national de la Criée. Il se produit actuellement avec de nombreux ensembles aussi bien modernes que baroques, notamment la Chapelle Rhénane (Benoît Haller), le Concerto Soave (Jean Marc Aymes), l'ensemble Jacques Moderne (Joël Suhubiette), les Chantres de Saint-Hilaire (François Xavier Lacroux), Sagittarius (Michel Laplénie)... et a rejoint en mars 2018 le Concert Spirituel sous la direction d'Hervé Niquet.
Ondrej Jaluvka, théorbe
Né en Tchécoslovaquie, Ondřej commence très jeune à étudier la musique et à pratiquer la guitare. Il est diplômé de l’Université Palacky à Olomouc. Il découvre la musique ancienne et le luth, qu’il étudie avec Rolf Lislevand à la Staatliche Musikhochschule de Trossingen puis avec et Eugène Ferré au Conservatoire Supérieur de Lyon. Interprète, improvisateur et compositeur, il a donné des concerts en Espagne, en Italie, en Allemagne, en Palestine... et participé à des enregistrements, récemment avec Iamme et Jakub Cermaque et collabore entre autres avec Amandine Beyer, Paul Agnew, Gabriel Garrido, Vincent Recolin, Elodie Hache, Jiri Pavlica, Jakub Cermaque, Jaap Schröder... Enseignant des masterclasses de luth, menant un projet de heavymetal et composant des chansons pour divers artistes de musique populaire, c’est un musicien éclectique, sans cesse à la recherche de nouveaux horizons musicaux. La sensibilité de son jeu laisse émerger les parfums du folklore morave qui inspire avec bonheur son approche de la musique.
Takahisa Aida, orgue positif
Né au Japon, il étudie le clavecin à l’Université Nationale des Beaux-Arts et de la Musique de Tokyo, dans la classe de Masaaki Suzuki. Il y est diplômé avec mention très bien à l’unanimité et avec les félicitations du jury. Il est lauréat premier nommé en clavecin du 23ème Concours International de Musique Ancienne de Yamanashi au Japon. Passionné par la musique française, il décide de poursuivre ses études à Paris. Il intègre alors le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, où, en 2014, il obtient le master de clavecin avec mention très bien à l'unanimité et avec les félicitations du jury. Il se forme notamment auprès d’Olivier Baumont, Blandine Rannou, Kenneth Weiss et plus largement, à l’occasion de masterclasses, avec Pierre Hantaï, Noëlle Spieth et Bertrand Cuiller. Takahisa Aïda poursuit actuellement une activité de concertiste, soliste et continuiste au sein des ensembles Les Contre-Sujets et La Jupiter. Il suit également un cursus professionnel de musique de chambre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Son parcours l’amène à se produire très régulièrement en concerts, tant en France qu’au Japon. Takahisa Aïda a été récemment invité aux résidences et concerts de musiques anciennes organisés à Ambronay, ainsi qu’à York en Grande Bretagne.